Dans une scène indigne d’un État souverain, un représentant du Front Polisario séparatiste a réussi à s’infiltrer dans une réunion préparatoire de la Conférence internationale de Tokyo sur le développement en Afrique (TICAD), grâce aux facilités accordées par la délégation algérienne. Le nom de la « République fantôme » a été inscrit sur une carte d’accès et sur un panneau, et il s’est vu attribuer un siège au nom de l’Algérie, et ce malgré le refus clair du Japon de permettre la participation de ce qu’il a appelé une « entité » et de lui accorder un laissez-passer officiel.
C’est un nouveau scandale qui s’ajoute à la longue série de dérapages politiques du régime algérien, qui s’obstine à soutenir le Front Polisario et à appuyer ses ambitions séparatistes dans le Sahara marocain. Le régime algérien a parié sur cette question pendant de longues années, dépensant des milliards de dollars de l’argent du peuple algérien sans résultat, sans même atteindre un seul de ses objectifs.
Ce scandale, ainsi que d’autres comportements injustifiés du régime algérien, révèlent la réalité politique d’un État qui souffre d’un manque de poids, de prestige et de politique rationnelle. Le régime s’acharne à soutenir la « République fantôme » virtuelle et brutale alors que l’Algérie est confrontée à de graves problèmes économiques et sociaux.
Les citoyens algériens sont exaspérés et frustrés par la politique du régime qui a conduit à la détérioration du niveau de vie et à l’augmentation des tensions dans la région.
Les citoyens algériens exigent un changement de politique du régime et l’abandon du soutien au Polisario. Le nouveau scandale du TICAD est un appel clair au gouvernement algérien pour qu’il repense ses politiques et cesse de se débattre et de jouer avec le destin de l’Algérie et l’avenir du peuple algérien.